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tout savoir sur l'environnement, la santé et l'économie bleue en côte d'ivoire et en afrique dossiers a propos violations des droits de l’homme en côte d’ivoire / 23 novembre, 2011, 17:13 classé dans : non classé violation des droits de l’homme en côte d’ivoire victorine wodié révèle » l’horreur » de la crise post-électorale la commission nationale des droits de l’homme de côte d’ivoire (cndhci) a révélé le lundi 31 octobre, » l’horreur et l’inhumanité » de la période post-électorale. dans son rapport annuel présenté au ministère des affaires étrangères par sa présidente victorine wodié, la cndhci a fait l’état des lieux de la situation des droits de l’homme, avant et pendant l’élection présidentielle d’octobre-novembre 2010 en côte d’ivoire ; ainsi que la violente crise survenue après et dominée par une » présidence bicéphale de fait ». ce rapport reprend aussi les différentes tentatives internes et les médiations internationales pour le règlement pacifique de la crise. le document indique qu »’au fur et mesure que les tentatives de médiations échouaient, les tensions s’exacerbaient et les forces armées pro-ouattara et pro-gbagbo s’engageaient dans des combats de plus en plus intenses dans des villes aussi bien à l’intérieur du pays qu’à abidjan ». l’atrocité de ces actes le disputait à »l’horreur et l’inhumanité. » et ces atteintes graves et multiples au droit à la vie étaient signalés quotidiennement. la cndhci a souligné que ces violations ont été commises sous toutes les forces. »il n’y a pas que les armes. nous avons assisté à des pillages , à des massacres de populations, qui n’ont pas hésité à brûler vives d’autres personnes », a déclaré mme wodié. depuis le démarrage de ses activités, le 31 juillet 2008, la cndhci a enregistré à ce jour, 616 requêtes en provenance de toutes les régions du pays. victorine wodié a plaidé pour l’acquisition des moyens accrus et conséquents afin de renforcer l’efficacité de son organisation en tant qu’institution forte et crédible au service des populations. la présidente de la cndhci a en outre formulé plusieurs recommandations à l’état, aux acteurs politiques et aux populations. il s’agit, entre autres, de la lutte contre l’impunité, le respect et la protection de la liberté d’expression, la renonciation au recours à la violence comme mode d’accession ou de conservation du pouvoir, le rejet de tout esprit de vengeance et de représailles. le mandat de l’équipe actuelle de la cndhci expire en juillet 2012, 0 commentaires -- droit de l’homme/ 23 novembre, 2011, 17:13 classé dans : non classé intégration à la fonction publique les assistants sociaux préoccupés 580 étudiants dont 159 assistants sociaux, 114 assistants sociaux adjoints, 95 éducateurs préscolaires, 73 éducateurs préscolaires adjoints, 91 éducateurs spécialisés et 48 maîtres d’éducation spécialisés, respectivement des promotions 2008-2011 et 2009-2011 ont reçu solennellement hier jeudi 17 novembre, leurs diplômes de fin de cycle au terme d’une formation bien remplie. mais le plus dur commence pour ces étudiants en instance d’intégrer la fonction publique. en effet, depuis l’année dernière, ces travailleurs sociaux éprouvent des difficultés à exercer leur début de carrière professionnelle dans la fonction publique. la cérémonie de remise de diplôme a été un prétexte pour angaman mougo, président de l’association des étudiants de l’infs d’interpeller les autorités à se pencher avec diligence sur leur situation. le faisant, a-t-il dit, ses camarades et lui pourront mettre en application tout ce qui leur a été enseigné et s’imposer comme de véritables agents de développement durable pour le bien-être de la population et contribuer à la reconstruction du pays. le directeur de l’infs, bamba mamadou, s’est dit également préoccupé par ce problème d’intégration à la fonction publique qu’il a qualifié »d’épineux ». aussi a-t-il joint sa voix à celle de ses étudiants pour solliciter l’implication personnel du ministre d’etat, ministre de l’emploi, des affaires sociales et de la solidarité, pour le dénouement de cette situation qui perdure. l’autre point de doléance a porté sur l’ouverture d’un cycle supérieur, une priorité pour l’infs afin de permettre aux étudiants et travailleurs sociaux de faire des études supérieures. le directeur de cabinet du ministre, dr adama coulibaly, a confié que le ministre s’emploie à trouver des solutions dans les délais raisonnables. 0 commentaires -- accident/route/ 23 novembre, 2011, 17:13 classé dans : non classé accident de la route la côte d’ivoire enregistre 600 décès par an »l’accident de la route n’est pas une fatalité. on peut l’éviter ». ces propos sont du dr echui aka, directeur de l’office de sécurité routière ( oser). il les a tenus au cours d’une table ronde sur la gestion des conséquences des accidents de la route, le jeudi 17 novembre au siège de l’oms aux ii-plateaux. il a révélé à cette occasion que la côte d’ivoire enregistre 600 cas par an dont 40% de piétons dus aux accidents de la route. les statistiques de l’oser révèlent que la moyenne nationale d’accident est estimé à 20 cas par jour en 2008, soit un peu plus d’un accident toutes les 2 heures. en 2009, la seule ville d’abidjan a franchi le seuil des 14 accidents par jour. ces chiffres, en deçà de la réalité, sont énormes pour un pays comme la côte d’ivoire, où l’organisation des secours, la prise en charge médicale des victimes ainsi que leur indemnisation est »un vrai chemin de croix ». parcours qui exige une bonne dose de patience et surtout beaucoup de chance pour que la victime s’en sorte saine et sauve », a déploré koffi kouadio jean-baptiste, président de l’association des usagers de la banque et établissements financiers pour la promotion de leur droit (aubef) et initiateur de la table ronde. bien de raisons expliquent cette situation, selon dr florence camara, médecin urgentiste. selon elle, en côte d’ivoire les laboratoires, les pharmacies, les radiologies des services d’urgences ne sont pas fonctionnels 24 h sur 24. il faut aussi compter le manque de médicaments et d’équipements tels que les scanner, les films pour les radios et des lits pour les cas admis aux urgences. l’autre point important évoqué par elle est l’affection de nouveaux médecins dans les services des urgences, qui exigent des actes précis et justes. le ministère de la santé et de la lutte contre le sida par la voix de son représentant, assa lou, a révélé les dispositions en cours pour améliorer la prise en charge des urgences visant à réduire considérablement le taux de mortalité. cela implique un programme de formation des urgentistes, le suivi psychologique à la fois des victimes et leurs familles et la mise en place d’un observatoire des accidents de la route et recherche des indicateurs d’alerte pour la prévention des drames. dr juma kariburyo, représentant par intérim de l’organisation mondiale de la santé (oms), a présenté le coût économique des accidents de la circulation et des traumatismes qu’ils engendrent. ce coût a-t-il révélé, est estimé à 1% du produit national brut (pnb) dans les pays à faible revenu, 1,5% dans les pays à revenu intermédiaire et 2% dans les pays à revenu élevé. raison de plus pour les états de réduire ces coûts en accordant une priorité à la prévention routière. 0 commentaires -- accidents/victimes/route/ 23 novembre, 2011, 17:13 classé dans : non classé accidents de la route le gouvernement et les religieux se souviennent des victimes la semaine nationale de la sécurité routière débute aujourd’hui lundi 21 novembre et se poursuit jusqu’au vendredi 28 novembre 2011. les activités s’articulent autour du thème : » la sécurité routière , une responsabilité partagée ». le ministère des transports, à travers l’office de sécurité routière (oser), avec l’appui de la sonatt, la sicta, la sotra et en partenariat avec le rotary club, entend ainsi »sonner la mobilisation et la sensibilisation des usagers de la route autour de la prévention routière. cette m